Ce que la presse en dit
« En 1738, la jeune Esther Brandeau s’est embarquée sur un bateau déguisée en garçon pour faire la traversée vers la Nouvelle-France. À partir de ce fait véridique, l’écrivaine torontoise Susan Glickman a écrit un roman historique mâtiné d’un récit d’aventures aux allures de conte des mille et une nuits. Un livre au charme insidieux, comme celui de son héroïne. »
Josée Lapointe – La Presse +
« Mélangez l’univers de la Nouvelle-France à celui des Mille et une nuits et vous obtiendrez l’un des romans les plus plaisants de la rentrée hivernale.[…] Basé sur un fait historique pour le moins intriguant, le récit s’autorise une profusion de fantaisie en imbriquant à la trame québécoise les histoires abracadabrantes d’une fabulatrice hors-pair. »
Thomas, Libraire Gallimard
« L’écrivaine torontoise Susan Glickman, maintes fois primée pour ses essais, s’est inspirée d’un fait historique s’étant déroulé à Québec en 1739 pour écrire un roman magnifique, où l’esprit d’aventure s’exprime à chaque page. »
Marie-France Bornais – Journal de Québec
«Il ne suffit souvent que d’une seule phrase pour ouvrir la porte à une histoire fascinante. Pour Susan Glickman, ce déclencheur était caché dans un livre sur l’histoire du Québec. »
Isabelle Houde – Le Soleil
[Entrevue]
« Le plus récent livre de l’auteure, poète et critique torontoise Susan Glickman lève le voile sur un pan peu connu de l’histoire du Québec, soit la place des Juifs à l’époque de la conquête. »
Entrevue avec Marie-Louise Arsenault – Plus on est de fous plus on lit / Radio-Canada
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